Toi, jeune métisse de nos îles françaises,...
Toi, jeune métisse de nos îles françaises, après la première incompréhension de septembre, tu es revenue me chercher un jour de mai pour mieux m'abandonner aussi vite très injustement un jour de juin sur le bord de la route pour un autre inconscient ayant décidé de te suivre dans ton ambition folle. Il s'agit de ces déroutes de l'existence où remonte brusquement à l'état de conscience que les certitudes n'existent pas et que les mais dans l'écriture disjointe du destin sont de vigueur. Il s'agit de ces déroutes de l'existence où remonte brusquement à l'état de conscience que les échecs sont les mets amers conduisant souvent à tisser d'étranges succès dans la mer agitée de la traversée solitaire...