Bémol

Au bémol, j’y préfère le dièse car il s’agit toujours d’un préambule à l’astérisque, ceci fait davantage gaulois, bien qu'il me faille avouer que mon humour peut faire téléphoné. Ce sont les joies d'un curieux solfège que l'on appelle l'approximation par demi-tons...