Arrêt

Il existe toutes formes d'arrêts. De celui d'un train, d'un bus ou plutôt dans ce cas plus précis, d'un humain. Difficile face à une foule d'objectifs de savoir parfois s'arrêter de penser comme de pouvoir installer efficacement entre vie professionnelle et vie personnelle, le sas modestement tout juste suffisant quand la pression d'ordres démesurés se font oppressants à notre porte. Quand ce n'est pas nous-mêmes, c'est notre enveloppe corporelle qui plante le stop, fixe les bornes du temps et impose l'éloignement. Il est temps de rejeter les soumissions ingrates et de remettre notre personne au centre de nos intérêts primaires car en aucun cas, participer au développement d'une activité technique autant que intellectuelle ne saurait mériter de marcher jusqu'à la dépression voire jusqu'à la tumeur maligne. Demain, je ne saurai poursuivre mon profil d'hier car la conscience mûrit et le corps se fatigue de façons d'être qui ne méritent pas tant d'importance...